Plusieurs jeunes guinéens et étrangers ont été arrêtés par les forces de l’ordre dans beaucoup de villes de Guinée dans ces derniers temps. Face à cette situation, Souleymane Doumbouya a été interpelé par la direction de la police judiciaire comme étant le représentant de ladite société en République de Guinée.
Interrogé, le concerné dément catégoriquement l’accusation. Il l’a fait savoir dans un entretien qu’il a eu à faire avec les hommes de media ce lundi soir, 28 octobre 2019 à Conakry.
D’entrée de jeu, Souleymane Doumbouya a rappelé qu’il est le promoteur de cabinet de consultation appelé ‘’Africa Business Consulting’’, qui est en partenariat avec la société internationale de vente en ligne QNET.
« Je ne suis pas le représentant de QNET en Guinée. Notre niveau de partenariat est loin de là. QNET est une société qui est essentiellement en Asie mais avec le marketing réseaux qui est un marketing relationnel, il est en train de plus en plus à se déverser en Afrique. QNET a été créé le 19 septembre 1998 », rappelle-t-il.
Poursuivant, souleymane Doumbouya a dit ceci : « Si mon entreprise est partenaire avec QNET, c’est par ce que QNET ne souffre d’aucun problème au niveau l’égale en matière d’autorisation l’égale. En Guinée, l’autorité de tutelle de toutes les sociétés de vente en ligne, c’est l’ARPT, jusqu’à jour QNET n’a pas été repéré comme une société qui est dans le cyber crime », a-t-il précisé.
Concernant, l’arrestation des jeunes, Mr Doumbouya a pointé du doigt un service. « J’ai été surpris par l’ampleur des cantonnements illégaux, s’il n’ya pas un acharnement qu’on a avec un service de renseignement et de répression, les problèmes même sont devant les juridictions, par ce que il a eu à brigander tous les biens que les jeunes RI avaient à leur possession et il les garde malgré les instructions données par les autorités judiciaires, cette procédure suit son cours normale », ajoute-t-il.
Il a enfin précisé que QNET est apprécié sur la base de son règlement intérieur qui conditionne ses ventes. « Tout RI qui s’hasarderai à violer comme ceux-là ont eu à le faire, s’exposent à des sanctions. Ces sanctions vont de l’avertissement jusqu’à la rupture unilatérale du contrat sur la base des preuves palpables », rassure-t-il.