Le secrétaire général à la présidence chargé des services spéciaux et de la lutte contre le crime organisé, a officiellement lancé ce vendredi 22 août 2025, la campagne de vulgarisation du projet de nouvelle constitution au compte de son institution.
Dans son discours, le commissaire principal Mohamed Lamine Simakan, a mis en lumière les éléments essentiels du projet qui sera soumis au référendum le 21 septembre 2025. Selon lui, ce projet de nouvelle constitution est l’une des expressions de la présidence de leur département. « Je vous remercie de l’attention accordée de la politique de refondation de l’État de son excellence, Monsieur le Président de la République.
Cette loi fondamentale, elle sort de notre démocratie. Elle définit nos valeurs, nos droits, nos devoirs. L’organisation des institutions de la République, leurs compétences, leurs rapports qui les régissent, ainsi que les institutions d’appui à la gouvernance démocratique, pour ne citer que ça. Nous devons la connaître, la maîtriser et l’expliquer à nos familles, nos communautés, dans le cadre d’un effort collectif ». Poursuivant, il a souligné que cette action de sensibilisation s’inscrit dans une démarche plus large déjà amorcée dans tout le pays. « Notre service en tant que service régalien de l’État est conformément aux dernières directives de son excellence, Monsieur le Président de la République, pour le renforcement de la sécurité dans notre pays. Nous devons observer, nous devons observer davantage de vigilance et de détermination dans l’accomplissement correct de nos missions, dans cette phase cruciale de l’histoire de notre pays. Je souhaite plein succès à cette campagne de vulgarisation du projets de nouvelle constitution, avec l’espoir que le oui l’emportera à l’issue du référendum. Vive la République ».
Pour sa part, le directeur des affaires administratives et financières, Lancinè Camara est largement revenu sur quelques articles de ce projet de nouvelle constitution. Il a souligné la nécessité impérieuse de vulgariser cette constitution, afin que les citoyens puissent librement voter le « Oui », le 21 septembre 2025.
Aboubacar M’mah Camara